Une autre mode d’éclairer ses décisions
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Il y est pourvu de journées qui ne décident pas. Des occasions étirées, sans lacet, sans cran fixe. On prénotion, mais n'importe quel geste semble reporté. Tout se fait flottant, à savoir si la réalité s’était mollement décalée. il n'est pas un grand cataclysme. C’est plus discret, plus lent. Une certaine catégorie de trouble diffus. Le genre de trouble qu’on ne raconte pas. Qui ne se voit pas. Mais qui prend toute la place à l’intérieur. Ce jour-là, la lumière semblait se soutenir en surface. Les messages que j’utilisais étaient éclatants, mais ne disaient rien. J’étais là, fonctionnel, mais à côté. L’intuition, elle, ne criait pas. Elle murmurait. Mais je n’arrivais pas à pencher ce qu’elle disait. Il y avait une tension, une pilotage à prendre par contre, mais floue. Un ensemble d' informations faible, mais appuyant. Pas relativement mémorable pour me revêtir en étape. Trop d'envergure pour que je l’ignore. Je savais que ce n’était pas une question de concept. J’avais déjà tout analysé. Trop. Et toutefois, rien ne se posait. Ce qu’il me fallait, ce n’était pas une déposition. C’était une approche, un voyance olivier son. Quelque chose de plus global que mes descriptions. Un autre regard, qui ne chercherait pas à m’orienter, mais à m’éclairer, tout de suite ce qu’il est bien d'avoir pour que le chemin se redessine de lui-même. Ce genre de envie ne se formule pas sagement. Il est bien d'avoir un endroit pour cela. Un état qui sache accueillir ce qui ne se exprimé pas encore clairement. Un endroit sans bruit, sans pression. Où l’on est en capacité de tourner sa demande sans être réduit à une case. Pas un aide anonyme. Pas une acception jolie. Une solennelle présence. Et ce jour-là, on a mesure là que je me suis tourné, presque facilement.